Les Red Flames en Ligue des Nations. L’équipe nationale belge féminine ouvre un nouveau chapitre de son histoire avec l’arrivée de la sélectionneuse Elisabet Gunnarsdottir. L’Islandaise a pour mission d’élever les Red Flames à un niveau supérieur, et son premier défi ne sera pas des moindres : un double affrontement contre deux des meilleures équipes du moment, l’Espagne et le Portugal. Cette entame de Nations League servira de premier test important pour la Belgique, qui veut se préparer au mieux pour l’Euro.

Un début de campagne ardu : l’Espagne comme premier défi

Le vendredi 21 février, les Red Flames feront face à l’un des plus grands défis possibles : l’Espagne, championne du monde en titre. Dominatrice du football féminin ces dernières années, la Roja est reconnue pour son jeu technique et offensif. Gunnarsdottir n’a eu que quelques jours pour imprimer sa philosophie et transmettre ses consignes à son groupe, mais l’enthousiasme est au rendez-vous.

La Belgique reste sur trois défaites consécutives contre l’Espagne, dont un cinglant 0-7 en Nations League l’an dernier. Pourtant, l’optimisme règne au sein de l’équipe. Les joueuses évoquent une nouvelle dynamique et espèrent pouvoir s’appuyer sur leurs qualités physiques pour bousculer l’Espagne. Gunnarsdottir met l’accent sur les surfaces de réparation, où, selon elle, les matchs se jouent.

Face à des joueuses comme Aitana Bonmatí et Mariona Caldentey, en pleine forme, la défense belge aura fort à faire. La tâche s’annonce difficile, mais les Flames n’ont rien à perdre. Un match spectaculaire est à prévoir sur le sol espagnol !

Belgique – Portugal : un défi à relever à domicile

Après ce choc face à l’Espagne, un autre test de taille attend la Belgique le mardi 26 février avec la réception du Portugal à Leuven. Ces dernières années, les Portugaises ont affiché une belle progression, s’installant parmi les équipes compétitives du football féminin européen. Pour les Red Flames, cette rencontre représente une opportunité idéale de démontrer leur montée en puissance et leur capacité à rivaliser avec des adversaires de niveau similaire.

Gunnarsdottir insiste sur l’importance de l’intensité et de la discipline face au Portugal. Les Belges ont prouvé par le passé qu’elles pouvaient être physiquement solides et bien organisées défensivement, des qualités qui pourraient faire la différence. L’appui du public et le facteur domicile joueront un rôle clé pour espérer décrocher un bon résultat. Ce match sera un indicateur précieux du niveau de motivation et de progression de l’équipe sous les ordres de leur nouvelle sélectionneuse. Une victoire lancerait idéalement la campagne des Red Flames et renforcerait leurs ambitions.

Une nouvelle ère pour les Red Flames

Si les statistiques récentes ne sont pas toujours favorables aux Belges, l’équipe a montré lors de ses dernières prestations qu’elle pouvait tenir tête à des adversaires redoutables. La qualification récente pour l’Euro a boosté la confiance du groupe, qui doit maintenant confirmer sur le terrain.

Une chose est sûre : avec Elisabet Gunnarsdottir à la tête de l’équipe, les Red Flames entament une nouvelle ère. Ces deux premiers matchs en Nations League donneront un aperçu des ambitions et du potentiel de cette Belgique version 2025. 🔥