Tour 2024. Le Tour 2024 démarre pour la première fois en Italie, avec un parcours exigeant rempli de montées légendaires et de deux contre-la-montre. Ces étapes détermineront le classement général où les coureurs se disputeront le maillot tant convoité. Les grands favoris Tadej Pogacar et Jonas Vingegaard, accompagnés de challengers comme Primoz Roglic et notre Remco, promettent une bataille palpitante. Dans les étapes de transition, sprinteurs et baroudeurs devront saisir leur chance. Qui sera couronné 111e vainqueur du Tour à Nice le 21 juillet ?
Aperçu du Tour 2024
Le Tour commence pour la première fois en Italie, un véritable festin pour les grimpeurs et spécialistes des collines. La première étape comporte pas moins de 3 600 mètres de dénivelé et sept ascensions. C’est assez unique dans l’histoire du Tour, où les premières étapes sont souvent des échauffements pour les hommes de classement. La dernière montée de l’étape d’ouverture s’élève sur 7,1 kilomètres avec une pente moyenne de 4,8%, suivie d’une descente jusqu’à une finale plate.
La deuxième étape promet un spectacle pour les puncheurs, avec cinq ascensions et une finale raide depuis la montée de San Luca (1,9 kilomètres à 10,6%), suivie d’une descente rapide. L’étape trois emmène les coureurs sur des routes plates de Piacenza à Turin, après quoi le Tour quitte l’Italie. La quatrième étape se termine à Valloire, après la difficile montée du Galibier de 25 kilomètres. La septième étape voit le premier contre-la-montre où nous attendons notre balle aérodynamique belge.
Lors de la neuvième étape, une course de gravel de 199 kilomètres avec 2 000 mètres de dénivelé et quatorze tronçons non pavés attend les coureurs, une véritable épreuve d’endurance. De nombreux hommes de classement n’en sont pas ravis, mais ils n’ont guère le choix.
Dans la quatorzième étape, les Pyrénées sont au centre, avec des ascensions sur le Tourmalet et l’Hourquette d’Ancizan, se terminant à la Pla d’Adet (10,6 kilomètres à 7,9%). Le Plateau de Beille est également de retour dans ce Tour. Sur cette montée, notre compatriote Jelle Vanendert a remporté une victoire phénoménale en 2011 devant tous les hommes de classement.
Le week-end de clôture se termine exceptionnellement à Nice, en raison des Jeux Olympiques. La dernière étape est un contre-la-montre avec des montées vers La Turbie et le Col d’Èze, suivies d’une descente vers la Côte d’Azur. Le contre-la-montre fait 33,7 kilomètres et déterminera le vainqueur final de ce Tour.
Parier sur le Tour 2024
Tadej Pogacar (1.60) domine encore cette saison, mais il ne s’est pas montré invincible en France ces dernières années. Jonas Vingegaard (3.25) l’a battu les deux dernières années. Que pouvons-nous attendre cette année ? Examinons les principaux favoris pour la victoire finale.
Cette saison, la préparation des quatre principaux favoris a été inhabituelle. Vingegaard, Remco et Roglic ont été blessés début avril lors du Tour du Pays Basque. Vingegaard, qui avait bien commencé la saison avec des victoires à la Tirreno-Adriatico et à l’O Gran Camino, a depuis peu couru. À ce stade, il manque de rythme de course, ce qui laisse des doutes sur sa forme malgré un solide camp d’entraînement au Teide. Roglic et Remco sont revenus en compétition début juin. Primoz Roglic (9.00) a remporté le Critérium du Dauphiné de justesse, tandis que Remco (15.00) a bien commencé mais a manqué de force en montée. Notre compatriote semblait en difficulté, ou peut-être s’était-il réservé en vue de son tout premier Tour ?
Pogacar est resté indemne et a triomphé dans plusieurs courses, dont les Strade Bianche, le Tour de Catalogne, Liège-Bastogne-Liège et le Giro d’Italia. La grande question est de savoir s’il peut maintenir sa forme pendant trois semaines dans le Tour. La saison a déjà été longue et éprouvante, mais le Slovène semble venir d’une autre planète. Comme conseil de pari chez Unibet, nous allons même pour une domination complète et voyons Pogacar comme le vainqueur du classement de la montagne. Tadej dans les pois vous rapporte 5.50 fois votre mise chez Unibet. Qu’attendez-vous ?